dimanche 13 juillet 2008

fin des choses toutes les bonnes ont

ce blog est fini... je me déplace... ailleurs.

merci pour la compagnie et à bientôt.

dimanche 23 mars 2008

Les parents...

ma chère Sonia Bressler et son Leica au Népal


Nous sommes des êtres fragiles,
nous sommes une plume au vent,
un souffle un matin,
une brise légère,
une feuille de marjolaine,
nous sommes bousculés, chahutés, renversés, retournés, éreintés...
Le doute s'empare de nous,
la lutte contre la culpabilité,
l'amour exigeant.
Planter, retouner, préparer, arroser, surveiller, guetter, donner de l'amour, regarder, s'extasier, craindre, souffrir, repartir, y croire encore et toujours...
Nous sommes l'enfant, la fleur, le vent, tout en même temps
Nous sommes parents...

Donner de l'amour à des enfants, je n'ai rien connu d'aussi difficile, d'aussi exigeant, d'aussi douloureux parfois...
C'est un effort sans relâche qui ne souffre pas d'abandon.
C'est comme ça que je l'ai découvert, c'est comme ça que j'aime mon travail de maman...

Un chemin.

Un chemin qui m'apprend plus sur moi même que ce que je n'aurai jamais pu imaginer.

mercredi 13 février 2008

Pas facile...


de reprendre l'écriture après une longue absence.

Ma vie est un peu en apnée, j'attends que le plus dur passe.

Je pleure un peu, des fois, mais je savoure dix fois plus.

Et c'est une sensation incomparable que celle de vivre dans la Vérité.

Il y a un truc très drôle qui m'arrive c'est le phénomène de la femme enciente mais transposé à ma 5ème dimension... C'est un peu obscur mais je m'explique :
Vous avez remarqué que quand une femme est enceinte, tout le monde se préipite pour lui raconter son accouchement, celui de sa voisine, celui de sa mère, de sa tante et si possible le pire ?
Ben quand on divorce c'est pareil en fait, sauf que tout le monde se sent obligé de me raconter ses problèmes de couple, de cul, ses histoires d'amour ratées, ses lâchetés sentimentales... La coiffeuse, l'ostéopate, mon chef, l'instit, et je dois vraiment avoir bien choisi mes amis parceque curieusement, eux, pas trop en fait.

Sont trop occupés à me faire sourire.